Perdu dans les couloires....

Haru déambulait tranquillement dans les couloir, avec son habituel air de blaser de la vie sur le visage, se fichant complêtement d'être perdue dans une tour douteuse. Dans sa main droite se trouvait un sac, contenant les seules objet qu'il avait eux le temps d'emporter avec lui avant que les deux tueurs en série le kidnappe. Le voyage avait été tranquille, et les deux agent avait eu l'air surprit de voir que le jeun homme les suivait de son plein gré sans opposer une résistance. Sentant sa veille fouine s'agiter sur son épaule, son perchoir habituel, il tendit sa mains non occuper pour lui gratter le cou, et ainsi la calmé un peux. En arrivant ici, il avait prit un certain nombre de couloirs au hasard, réfléchissant intensément. Ses pensée ressemblait à ceci:

"....mais alors qu'est qui à pus me capturer? Les deux seul options possible reste le gouvernement ou la mafia, et si j'étais plus crédule, je dirait aussi les extra-terrestre, mais je doute qu'il engage des ressortissant de prisons. En tout cas, le plus gros mystère reste le pourquoi de ma capture, qui est franchement nébuleux. La seule raisons valable que je vois est mon intelligence, mais j'ai toujours fait attentions à la caché. Alors la seule options logique qui reste est le réseaux de prostitutions, mais j'aurais été kidnapper en un autre lieux et on m'aurait prit en charge à mon arriver. À moins que.....

Le tout passait à 100 à l'heure dans son cerveaux, et ne paraissait aucunement sur son visage. Il continuait de marcher tranquillement, aussi expressif qu'une méduse échouer sur une plage, pendant que ça fouine grognait sourdement, s'agripant du mieux qu'elle pouvait avec ses pattes de devant au chandail de son maitre, ayant repérer un bruit qu'elle jugeait suspect dans le lointains de ces corridor sans fin.

Clarisse se trouvait justement dans ce couloir, sa barre a la main, qu'elle raclait contre le mur, produisant un bruit des plus lugubre.

Soudain, derriere ses lunettes noires, ses yeux brillerent a la vu d'un des pensionnaire et un sourire se dessina sur ses levres rosées.


- On ne traine pas dans les couloirs... Se contenta t'elle de dire, frapant sa main gauche de sa barre en metal, peu engageante.

Haru fut surprit quand il entendit une voie humaine, très surprit. Il ne s'attendait pas à tomber sur un être humain dans ce repère de la CIA/mafia russe. Mais il le fut encore plus quand il vit le dit humain, ou plutôt l'humaine, ou plutôt la chose-rose-armé-et-donc-fort-potentiellement-dangereuse-vue-sa-gueule. Il était tellement surprit par cette apparitions, que cela paru sur son visage:

Son sourcil gauche frémit nerveusement.

Se reprenant de son ébahissement de 5/10e de seconde, Haru se mit à réfléchir, vaguement inquiéter par la barre d'acier. Tout en réfléchissant, il caressa sa veille fouine, qui semblait décider à faire la peau à cette femme au vue de ses couinement haineux et qui tentait vainement de sauté sur elle par la seule force de ses pattes avant.


"...Bon, au moins je ne suis pas seule dans cette tour. Mais de la manière d'on elle me parle, et au vue de sa... barre, je dirait qu'elle est une figure d'autorité ici. Figure d'autorité pour qui? Il y aurait donc d'autre personne à part moi? Et si elle est une figure d'autorité, pourquoi diable est-elle habiller de cette manière? Ma théorie sur les extra-terrestres me parait soudain plus plausible­. Elle parle aussi de ne pas trainé. D'accord, avec plaisir, mais je vais ou? Ils y à donc des salles spéciales ou l'on doit se tenir? Mais le plus bizarre dans cette histoire, c'est qu'elle n'a pas l'air de voir que je suis un nouvel arrivant, alors que la moindre organisations vaguement organiser devrait connaitre tout ses nouveau visages... Bon, une organisations qui enferme un mec pour rien dans un tour digne du château de Dracula ne doit justement pas être très organiser...

Au final, Haru se décida à répondre, après un silence assez long, à son interlocutrice. Il choisi une simple questions ayant un lien directe avec ce que la femme lui avait dit, gardant les autres bien au chaud dans un coin de son cortex.

-" Je vais où? Dit il simplement, aussi expressif qu'un poulpe fraie sur l'étal d'un poissonnier.

- Ailleurs. Fit-elle d'un ton glacial.

Haa ce que les pensionnaires pouvaient etre lent parfois.
Et cette bestiole... Clarisse detestait les animaux de compagnie, quel qu'ils soient.
Cette fidelité qu'ils pouvaient avoir pour n'importe qui, c'etait horripilant. bref, la jeune fille l'aurait bien faite cuir a la broche.

Elle aurait pu pour le coup se faire un petit plaisir (sadique) mais au lieu de se precipiter sur l'occasion, elle attendit de voir la reaction de son interlocuteur.

Haru ne ce sentait pas tellement touché par la froideur, voir l'antipathie, que lui témoignait cette femme. Il était fort concentré sur ce que lui avait dit cette femme, analysant et décryptant sa maigre réponse et son attitude pour savoir quoi répondre. En effet, au vue du regard qu'elle avait eu pour sa fouine et du durcissement de ses muscles faciaux qui en avait découler, il déduisait que sa prochaine phrase pourrait peut être jouer de l'avenir de son brave compagnons. Brave compagnons qui était paralyser, vieux, rachitique, complètement ridicule, mais qui gardait son caractère de tueur et qui couinait pathétiquement en directions de la femme, certain de lui faire la peaux. Haru laissa sa mains sur sa nuque, espérant pouvoir le calmer un peux. Un début de solutions apparaissait dans son esprit.

"...Ok, cette soubrette meurtrière ne semble pas m'aimer, ni vouloir m'aider. Que faire dans ce cas? Listing des options:

1. Je me retourne calmement sans lui répondre et je part, et si elle fait mine de m'attaquer, je cours.
2. Je lui demande pourquoi j'ai été enlever par deux gorilles monstrueux et si cela à rapport avec l'industrie du sexe?
3. Je lui demande de me conduire ailleurs, et si possible de me présenter aux autres, qui existe, j'en maintenant suis sur.
4. Je lui demande pourquoi elle est habillé pareille, et si elle est bien allié avec les extra-terrestre.

Hum... Le choix no.4 me parait vaguement suicidaire, je crois que je vais penché en faveur du no.2."

Après un long silence, il décarra avec un flegme pire que britannique:
-"Pourquoi deux ressortissant de prisons soviétique son venue me kidnapper? Pour me faire jouer dans des pornos clandestin?


...Allait-il restez vivant face à une telle remarque ou sa vis-à-vis allait-elle rester ébahi face à l'expression de neutralité pure conjuguer à des propos obscène?

-"Pourquoi deux ressortissant de prisons soviétique son venue me kidnapper? Pour me faire jouer dans des pornos clandestin?

Clarisse marqua une pause afin d'analyser la phrase de son interlocuteur. Puis, un sourire se dessina lentement mais surement sur ses levres. Un sourire qui se changeait progressivement en un rire... machiavelique. tonitruant? non bof.. ca fait pirate... HORRIBLE!!! n'exageront rien, c'est pas une sorciere non plus... terrifiant! ca ca peut coller!

Donc un rire terrifiant!

Qui s'arreta net au bout d'a peu pres une minute (oui je sais c'est precis)

Elle se figea alors de nouveau et repondit enfin:

- C'est une idée, j'en parlerait a mes collegues.